Urban Art Jungle — Le festival des arts urbains
L’Urban Art Jungle Festival est le fer de lance de l’engagement de l’association dans la promotion des cultures urbaines auprès du grand public.
Événement phare de Superposition, l’Urban Art Jungle Festival – festival des cultures urbaines – déverse des litres de peinture, diffuse des ondes musicales et met en lumière des talents locaux en devenir et des artistes confirmés de la scène nationale !
Dans une volonté de valoriser le territoire, Superposition investit des espaces en réhabilitation ou des zones atypiques afin de faire (re)découvrir la beauté de la ville aux habitants. La première édition a eu lieu dans une ancienne menuiserie, la deuxième dans l’actuel incubateur culinaire (La Commune), la troisième et quatrième dans un théâtre en réhabilitation (Le Croiseur) et la dernière édition dans une ancienne friche industrielle (CCO La Rayonne).
Cette jungle urbaine éphémère est l’occasion de repenser l’espace en le sublimant par des oeuvres et des performances artistiques. Des arts plastiques aux disciplines musicales ou corporelles les pratiques se croisent, s’entrechoquent et parfois même se marient pour offrir un singulier concentré d’arts urbains !
Une programmation ludique, créative et accessible sur 3 journées et 2 nuits :
Live paintings, exposition collective, ateliers d’initiation gratuits, marché des créateurs, happenings et surprises arty, scène musicale (DJ sets et lives), foodtrucks et bar, espace kids.
— On parle du festival —
Kiblind : “Un monde à part entière où l’éclectisme et la magie seront au rendez-vous”
Paperboys : « Toujours plus urbaine, toujours plus artistique, toujours plus « junglesque »
Lyon Capitale : “Amateurs de street-art, réjouissez-vous !”
Only Lyon : “ Une impeccable séance d’initiation aux arts de la rue.”
Streetpress : « Le festival des arts urbains lyonnais voit les choses en grand”
Retour en vidéo sur les dernières éditions :
(Urban Art Jungle Festival #5 > Crédit © Mateo Balestriero // Urban Art Jungle Festival #4 et #3 > Crédit © Thomas Ayrinhac)